Présentation de Nancyclotep

Présentation

L’imagerie moléculaire clinique et en particulier la Tomographie par Emission de Positons (TEP) prend une place croissante en médecine. Elle participe, avec la biologie, à l’amélioration du diagnostic, à définir les traitements les mieux adaptés et à en évaluer l’efficacité thérapeutique pour chaque patient. Ses applications concernent en particulier les grands domaines de santé publique (oncologie, neurologie, maladies cardiovasculaires).

Cependant le potentiel énorme de cette technologie n’est pas actuellement suffisamment exploité en clinique à cause des contraintes techniques, logistiques, organisationnelles, économiques et à la complexité réglementaire de leurs mises en œuvre.

L’objectif de la plateforme Nancyclotep est de lever les verrous qui limitent l’utilisation de ces techniques en pratique médicale courante et de répondre ainsi aux besoins des patients, du système de santé, et de la Recherche et du Développement (R&D) des industriels ainsi que de la recherche académique.

En 2007, grâce à la volonté et au soutien à l’investissement des collectivités territoriales de Lorraine, le GIE Nancyclotep a été créé avec pour objectif de mettre en place et d’exploiter une structure de recherche et développement pré-clinique et clinique dans le domaine de la Tomographie à Emission de Positons. 

Ce GIE comporte à ce jour trois membres : le CHRU de Nancy, l’Université de Lorraine et la société Posifit.

Nos collaborations

L’industriel Curium International avec lequel Nancyclotep collabore dans le cadre de la production commercialisée de 18Fluorodopa (DOPACIS) et de 18Fluorocholine (CISCHOLINE / FLUOROCHOLINE CIS BIO INTERNATIONAL).

Plusieurs équipes de recherche et laboratoires universitaires :

Les équipes de Chimie.

La faculté de Pharmacie et l’ENSIC, en particulier autour de la Filière « Pharma+ ».

Le CRAN sur des projets de développements méthodologiques.

Les équipes INSERM et CNRS du domaine Biologie-Santé.

L’école de Chirurgie.

Le Centre d’Investigation Clinique du CHRU de Nancy.

L’Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC) de Strasbourg avec mise en commun de projets  de R&D sur les radiotraceurs et mise en commun de moyens techniques.

Les services de Médecine Nucléaire et des équipes de recherche du Luxembourg.